Joie d'auteure.
mardi 27 juin 2017
vendredi 23 juin 2017
Chapitre 10
Voilà ce que ça donne quand j'arrive à être productive pendant mes jours de congés : j'écris près de 2000 mots, je complète un chapitre de Pan3, et je touche les 50% de complété du bout des doigts. Si ça pouvait être comme à tous les jours, P7 serait complété et H&E1 serait déjà envoyé à l'éditeur! *rires*
Mais, ne nous décourageons pas, si je suis certes au boulot ce soir, c'est congé demain! Alors les paris sont ouverts : 500 mots pour demain? 1000? Plus?!
J'aimerais bien. ;)
Bonne fin de journée tout le monde!
mardi 13 juin 2017
Hufflepuff
JOURNÉE OFF #1 : Je confesse avoir été très peu productive côté écriture.
TOUTEFOIS, je me suis procurée cette superbe édition spéciale de Harry Potter and the Philosopher's Stone (Harry Potter à l'école des sorciers).
#HUFFLEPUFF
Je vous promets d'être plus efficace demain!
mercredi 7 juin 2017
lundi 5 juin 2017
Panthera chez Dreamland
Dernièrement, j'ai été peu présente sur le blog, et même sur ma page Facebook (ici), et je m'en excuse. Mon absence prolongée s'explique par un manque de temps, entre mon boulot à l'extérieur, mon infographie et l'écriture de Pan3, la révision de H&E1 et le début de SA1 (eh oui, encore un autre!), mais surtout, surtout, j'avoue que je manquais d'inspiration - et de motivation. Dans les dernières semaines, j'ai frappé un mur avec tous mes projets d'écriture, autant Pan3 que H&E1. Ce n'est pas l'envie qui manquait, je vous rassure (j'ai toujours envie d'écrire), mais tous les mots qui se formaient à l'écran me décourageaient, me répugnaient.
Comme toujours, toutefois, l'inspiration a fini par me revenir (merci, ô Dieux de l'Inspiration). Je me suis donc retroussée les manches et me suis réinstallée devant mon ordinateur. Et je me sens mieux depuis. À ma place.
L'Univers a peut-être voulu m'envoyer un signe. Du genre "Tu vois bien que l'écriture, les mondes parallèles, la magie et les métamorphes, c'est ton truc. Alors remets-toi au travail.'' Mais, juste pour être sûr, l'Univers a décidé de m'en envoyer un autre. Un gros, cette fois. En lettre lumineuses phosphorescentes. Il disait quelque chose comme ça :
PANTHERA SERA PUBLIÉ EN EUROPE AUX ÉDITIONS DREAMLAND. PARUTION PRÉVUE POUR L'AUTOMNE 2017.
Ouaip. Juste ça.
Alors aujourd'hui, après un long mois d'absence sur le blog (ouais, rien que ça!), je reviens plus motivée et plus inspirée que jamais.
Merci aux Éditions AdA pour leur précieuse collaboration sur ce merveilleux projet, ainsi qu'aux Éditions Dreamland (une filiale de City) pour m'offrir cette opportunité.
Et merci à vous, lecteurs et lectrices, de me suivre, de suivre Lana et Seamus. Un merci spécial à ceux et celles qui me suivent depuis le début, avec Polux.
Et merci à la vie pour me permettre de faire le meilleur boulot du monde.
dimanche 4 juin 2017
Kodos, par Patrice Cazeault
ATTENTION :
Ceci est l’ultime tome d’une série. Il
pourrait donc y avoir des spoilers des premiers tomes dans ma chronique. Pour
connaître mon avis sur le tome 1 de la série Averia, intitulé Seki, c’est par ici. Pour ma chronique du
tome 2, Annika, c’est ici, pour le
tome 3, Myr, ici, pour le tome 4, Chernova, c’est ici; et enfin, pour le
tome 5, Laïka, ici! Vous pouvez également retrouver l’auteur de la série sur
son blog, ici.
Quatrième de couverture :
« ‘Trouvez Kodos.’
Annika fouille les villages
du désert à la recherche de Kodos. L’Humain serait le récipiendaire des dernières
instructions secrètes de Kavel Assalia, défunt héritier du trône tharisien, et
elle se rend compte rapidement qu’elle n’est pas la seule à le traquer.
Quand elle le trouve enfin,
Annika doit déployer d’impossibles efforts pour gagner sa confiance. Sa
coopération, paraît-il, suffirait à influencer le cours de la guerre qui fait
rage juste au-dessus de leurs têtes entre les Humains, l’Armada et les
partisans de l’ancienne monarchie…
Lorsque Kodos pose ses
conditions à Annika, il est clair qu’il a un plan.
Reste à savoir à qui il
profitera… »
Mon avis :
J’avais de grandes attentes pour ce sixième et dernier tome.
Après m’être séparée de Seki et Myr dans le tome 5, j’étais heureuse de
retrouver Annika pour l’ultime aventure.
Comme toujours avec Averia,
je n’ai eu aucun mal à me plonger dans ma lecture. Malgré le temps qui a pu s’écouler
depuis ma lecture du tome 5, et les livres que j’ai pu lire depuis, j’ai su me
repérer dans l’univers créé par Cazeault et retrouver mes repères. Ainsi, c’est
avec excitation que j’ai suivi Annika, Chernova, Kodos et Lanz, ainsi que
plusieurs autres personnages attachants, dans leur dernier combat vers un
avenir meilleur.
Au bout de six livres, Patrice Cazeault me surprend toujours
autant avec sa maîtrise de sa plume. Au fil des pages, il a su me faire rire,
me faire pleurer, me terrifier. Il a créé deux mondes, Averia et Tharisia,
extrêmement complexes et pourtant incroyablement solides. Il a peint des
paysages comme nul autre ne saurait le faire, et m’a présenté des personnages
si réels que j’aurais voulu ne jamais les quitter. Dans ce dernier opus, tout a
semblé s’emboîter parfaitement – les péripéties des sœurs Jones du côté des
tomes 1, 3 et 5; les déboires d’Annika la rebelle du côté des tomes 2 et 4 –
pour donner une finale pleine de rebondissements, d’action et d’émotions. Le
tout conté d’une main de maître, comme toujours.
Avec Annika, le lecteur a toujours eu droit à son lot de
bagarres, d’explosions et de jurons. Dans ce tome 6, toutefois, il aura une
belle surprise en découvrant le côté plus doux et, oserai-je le dire,
romantique de la jeune femme. En effet, moi qui ai toujours reproché son manque
de romance à la série, j’ai été servie avec non pas un triangle, ni même un
carré, mais un pentagone amoureux! Certes, on est loin des corps moites qui se
touchent et des souffles rauques qui s’entremêlent – mais je laisse passer pour
cette fois… ;)
Bien que cette nouvelle profondeur de l’histoire me plaise,
je dois avouer que j’ai plus ou moins adhérer à certaines péripéties amoureuses
d’Annika. Comprenez-moi bien ici, cela n’enlève rien à mon intérêt pour
lesdites péripéties – mais mon cœur ne penchait pas toujours du même côté que
celui de notre héroïne, et je confesse que cette romance tant attendue me
laisse en fin de compte un goût doux-amer.
En bref, bien qu’Annika et moi n’ayons pas les mêmes goûts
en matière d’hommes, je ne peux qu’applaudir cette finale toute en beauté à la
série Averia. Ces quelques centaines
de pages m’ont tenue sur le bout de ma chaise du début à la fin, à dévorer les
lignes et les paragraphes comme si ma vie en dépendait. L’épilogue, tout en
émotions, a quant à lui bouclé la boucle à merveille, et c’est avec un réel
pincement au cœur que j’ai dis au revoir aux sœurs Seki et Myr Jones, à Annika
la Tharisienne, et à tous les autres personnages créés par Patrice Cazeault.
Finalement, je conclurai avec ceci : s’il-te-plait,
Pat, ne mange pas mon cerveau. Il est tout moisi à côté du tien.
Ma note : 4.5/5
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