En fin de semaine, j'ai compris ce que voulait dire un collègue lorsqu'il avait annoncé qu'il n'avait rien ressenti de particulier en découvrant son livre dans les étagères d'un magasin. Quand j'avais lu ça, je m'étais dit « Quoi? Comment? » parce que je ne m'imaginais pas n'avoir aucune réaction en découvrant mon Polux dans les étalages. Et pourtant... Je suis allée au Archambault (j'avais commandé le tome 2 des Enfants de l'océan de Christelle Verhoest) et mes livres étaient là. Juste là. Et alors...
Rien.
Enfin, si. J'ai pensé « Eh! Ce sont mes livres! » Et j'ai continué mon chemin (enfin presque, en gros c'est comme ça que cela s'est passé).
...
Est-ce que c'est normal?
...
-_-
Ah ah! Ainsi tu doutais de mes sages paroles ;)
RépondreSupprimerLe problème, c'est que quand on aperçoit enfin notre bouquin dans les rayons, on réalise en même temps qu'il n'est pas seul.
C'est un roman parmi tant d'autres. Un tout petit livre anonyme au milieu d'un océan de bouquins.
On a envie d'accrocher les gens autour, de le leur montrer, de leur dire «Oui mais celui-là il est spécial !!»
Tu vas voir, il y aura des joies. Des éruptions de bonheur un tantinet plus spectaculaires. Patience!
C'est tout à fait vrai; je regardais les jeunes autour de moi qui fouinaient dans les étagères et j'avais envie de leur mettre mon livre dans les mains en disant «celui-là, tu vas l'aimer».
SupprimerMais je me suis retenue. :P