Aujourd'hui est une belle journée.
Il fait beau soleil dehors, et tant pis si c'est un peu frisquet.
Je recommence mes cours de zumba ce soir, après tout un été à accumuler des glucides et des calories.
Il ne reste plus qu'un mois et des poussières avant le Salon du Livre de l'Estrie, le premier de ma nouvelle saison, et j'en suis tellement excitée que j'ai l'air "d'une petite fille qui a hâte de recommencer l'école pour voir ses amis" (mots d'une de mes copines, et elle a tout à fait raison).
Mais surtout, j'en suis à 50% de rédigé pour Polux 6. Plus que 50% à écrire pour voir la fin de ce tome-ci, qui représente gros pour moi. Parce que c'est l'avant-dernier tome de la série. Et parce que celui-là n'avait jamais été écrit à la main, avant. Pas de brouillon bourré de fautes. Pas de feuille lignée tachée par mes doigts couverts de poudre de plomb. Juste ce qui me vient en tête et qui naît de mes doigts pianotant sur le clavier de l'ordinateur. Un tome 6 qui sonne comme le début de la fin de l'histoire qui a changé ma vie. Mais une heureuse fin. Avant que n'arrive un nouveau début.
Aujourd'hui est une belle journée.
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