Il y a un moment déjà, je vous avais révélé qu'au rythme auquel avançait Le jour noir, je craignais qu'il ne ressemble à ça :
Eh bien, depuis hier, en parallèle avec la rédaction des derniers chapitres du roman, j'ai officiellement commencé la révision des premiers afin qu'une fois imprimé, le bouquin ressemble plutôt à ça :
Et je m'aperçois d'une chose. Ou plutôt, de plusieurs choses : mes tics d'auteure. Qu'est-ce que des tics d'auteur, me demanderez-vous? Eh bien, c'est très simple, chers lecteurs : il s'agit d'expressions, de mots ou de formules, parfois même de types de ponctuation, qu'un auteur utilise à l'excès. Ou disons au moins beaucoup, trop souvent.
Chaque auteur aura ses tics, ses mots qu'il répète à tout bout de champ sans même en avoir conscience. Eh bien, désormais, j'aurai conscience des miens : donc, alors, et puis... Raaaaah, je ne sais même pas j'ai pu en enlever combien jusqu'à maintenant. Et je n'en suis qu'au sixième chapitre de révisé!
Je porterai donc (donc, donc, DONC) davantage attention à mes tics d'auteure au fil de ma correction.
Sans plus attendre, j'y retourne. Parce que... ouf! J'ai du pain sur la planche!
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