Depuis quelques jours, l'écriture du tome 6 de Polux avance plutôt bien. Je dirais même très bien...
Trop?
Comment cela peut-il être possible, me demanderez-vous. Eh bien, comme ceci, chers lecteurs :
En me basant sur le nombre de mots que contient L'éveil du loup, j'ai estimé le nombre de mots que devrait contenir Le jour noir. Il s'agit là d'une science inexacte, bien sûr, mais cela n'empêche qu'elle peut servir de point de repère. Bref, j'ai aujourd'hui atteint les 70 000 mots. Et donc, selon mes calculs, je n'en serais plus qu'à 5000 mots du point final du tome 6. Ma réaction à ce constat?
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce ne fut pas de la joie.
Non, les mots qui me traversèrent l'esprit ne furent pas « youpi! » ou
« malade! », ni même « OMFG! » ou « enfin! »
« malade! », ni même « OMFG! » ou « enfin! »
Non. Ce fut plutôt « Oh shit. »
Moui.
Oh shit.
Je vais buster.
Car j'estime que je ne suis pas à 5000 mots de la fin, loin de là. Peut-être 10 000. Ou plus. J'espère moins.
Je vous avoue qu'à l'école, j'étais toujours celle qui paniquait lors des examens finaux en s'apercevant qu'elle avait 150 mots de plus que le maximum autorisé. Vous imaginez le résultat quand il n'y a pas de maximum autorisé.
Mouais.
Résultat... J'espère que vous êtes prêts à ça :
;)
Pouhahahaha! J'adore l'image à la fin!
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