Lentement mais sûrement, j'approche de la conclusion du Jour noir. Plus que deux chapitres avant d'apposer le point final... Enfin, si tout se déroule comme prévu, cette fois. Car, si vous êtes des habitués du blog et de ma page Facebook (ici), cette phrase vous semble probablement familière. En effet, voilà deux fois maintenant que j'annonce qu'il ne reste plus que deux chapitres à rédiger au tome 6... Et voilà deux fois que je m'aperçois que tout ce qu'il me reste à dire n'entre pas dans si peu...
Résultat, le nombre estimé de chapitres du Jour noir est passé de 28 à 30.
Jamais deux sans trois, c'est ça?
Eh bien, espérons que cette fois sera la bonne!
En attendant, petit secret pour la route!
Résultat, le nombre estimé de chapitres du Jour noir est passé de 28 à 30.
Jamais deux sans trois, c'est ça?
Eh bien, espérons que cette fois sera la bonne!
En attendant, petit secret pour la route!
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Secret numéro 6 :
Vous savez, ces souvenirs d'enfance où l'ont voit Castor et Polux jouant à cache-cache (L’œil de glace, pages 89, 100 et 196, et Les êtres du chaos, pages 19 à 27), eh bien ils n'existaient pas dans les versions originales.
En effet, j'avais toujours eu l'idée qu'enfants, avant que Félix n'abandonne Polux et le fasse passer pour mort, les frères étaient très proches l'un de l'autre. Je n'avais toutefois jamais approfondi, ne croyant pas m'attarder sur le sujet au fil des livres.
Ce n'est que pendant la rédaction de L’œil de glace que l'illumination m'a frappée :
C'est alors que Castor et Polux jouaient à cache-cache que leur père adoptif a emmené le petit garçon qui allait devenir le Rôdeur. Lorsque Castor ne parvint pas à retrouver son petit frère, il crut que c'était parce que Polux était trop bien caché - et Félix ne lui dit jamais la vérité. À partir de ce jour et pendant plusieurs années, Castor poursuivit ses recherches à travers le village des Fugitifs, croyant qu'il allait finir par dénicher la cachette de Polux et qu'ils pourraient commencer une nouvelle partie de leur jeu favori...
Je ne m'étends pas sur les détails dans la série, mais depuis que cette idée m'est venue, j'ai toujours imaginé Castor avec une sorte de traumatisme d'enfance. C'est pourquoi lors de sa première rencontre avec Nola (Les êtres du chaos, page 36) ainsi que lors de la suivante (même tome, page 42), Castor dit qu'il cherche son petit frère. À partir d'un certain âge, le Fugitif a évidemment compris que son petit frère était mort (bien sûr, c'est ce qu'il croyait), mais dans un recoin de son esprit, il a toujours eu l'espoir fou que Polux était simplement trop bien caché pour être retrouvé...
Pauvre chou, je sais. Je suis cruelle avec mes personnages. Mais ne trouvez-vous pas que toute cette histoire rend Castor vraiment attachant? Moui, on a envie de le prendre dans nos bras et de lui caresser les cheveux en disant que tout va bien aller.
C'est l'effet recherché.
Et c'est pourquoi, même si je me sens coupable à chaque fois, je prendrai toujours un malin plaisir à faire souffrir mes personnages... ;)
Vous savez, ces souvenirs d'enfance où l'ont voit Castor et Polux jouant à cache-cache (L’œil de glace, pages 89, 100 et 196, et Les êtres du chaos, pages 19 à 27), eh bien ils n'existaient pas dans les versions originales.
En effet, j'avais toujours eu l'idée qu'enfants, avant que Félix n'abandonne Polux et le fasse passer pour mort, les frères étaient très proches l'un de l'autre. Je n'avais toutefois jamais approfondi, ne croyant pas m'attarder sur le sujet au fil des livres.
Ce n'est que pendant la rédaction de L’œil de glace que l'illumination m'a frappée :
C'est alors que Castor et Polux jouaient à cache-cache que leur père adoptif a emmené le petit garçon qui allait devenir le Rôdeur. Lorsque Castor ne parvint pas à retrouver son petit frère, il crut que c'était parce que Polux était trop bien caché - et Félix ne lui dit jamais la vérité. À partir de ce jour et pendant plusieurs années, Castor poursuivit ses recherches à travers le village des Fugitifs, croyant qu'il allait finir par dénicher la cachette de Polux et qu'ils pourraient commencer une nouvelle partie de leur jeu favori...
Je ne m'étends pas sur les détails dans la série, mais depuis que cette idée m'est venue, j'ai toujours imaginé Castor avec une sorte de traumatisme d'enfance. C'est pourquoi lors de sa première rencontre avec Nola (Les êtres du chaos, page 36) ainsi que lors de la suivante (même tome, page 42), Castor dit qu'il cherche son petit frère. À partir d'un certain âge, le Fugitif a évidemment compris que son petit frère était mort (bien sûr, c'est ce qu'il croyait), mais dans un recoin de son esprit, il a toujours eu l'espoir fou que Polux était simplement trop bien caché pour être retrouvé...
Pauvre chou, je sais. Je suis cruelle avec mes personnages. Mais ne trouvez-vous pas que toute cette histoire rend Castor vraiment attachant? Moui, on a envie de le prendre dans nos bras et de lui caresser les cheveux en disant que tout va bien aller.
C'est l'effet recherché.
Et c'est pourquoi, même si je me sens coupable à chaque fois, je prendrai toujours un malin plaisir à faire souffrir mes personnages... ;)
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