Psycho Boys, tome 1
Quatrième de couverture :
« En retirant son bracelet de
repérage, Abigail était consciente d’avoir mis en alerte le bureau des marshals
et celui du FBI. Ils la recherchaient certainement. Chose étrange, elle n’avait
encore croisé aucune voiture de police. Et si le signal n’avait pas été
déclenché? Qui qu’il en soit, elle était maintenant une fugitive et avait bien
l’intention de quitter la ville. »
Ils portent plusieurs
noms : vilains, prédateurs, Psycho Boys. Tous sont nés il y a dix-huit
ans, peu après l’apparition du Patecal, un nouveau médicament conçu pour
réduire le nombre de fausses couches. À l’époque, les gens s’accordaient pour
dire que ces bébés ne possédaient pas d’âme. Nous savons aujourd’hui qu’ils
n’auraient pas dû naître. »
Mon avis :
Je vais mettre quelque chose au clair dès maintenant : j’avais de grosses
attentes pour ce livre. Pour ne pas dire d’énormes. Voyez-vous, je suis une fan
de Michel J. Je l’ai découvert grâce à sa merveilleuse série Arielle Queen (dont mes critiques ne
sont pas encore sur le blog. Désolée).
Je ne me suis donc pas fait prier bien longtemps pour me jeter sur ce
tome 1 de Psycho Boys, qui promettait
bien des surprises.
Au début de ma lecture, j’avoue avoir eu un peu de mal à me
plonger dans l’histoire. L’univers alternatif me plaisait beaucoup, mais j’ai
été quelque peu déroutée par le rythme des chapitres. Au fil de ces derniers,
on alterne entre différentes « paires » de personnages. Ils nous sont
ainsi introduits et nous voyons l’histoire et l’intrigue se construire autour d’eux.
Toutefois, j’ai trouvé que cela ne nous laissait pas le temps de s’attacher à l’un
ou l’autre. Et donc, malgré les rebondissements auxquels nous avons droit au
cours de ces premiers chapitres, ma lecture a débuté un peu lentement.
Cela s’arrange toutefois rapidement, et après un début
difficile, je n’ai plus pu lâcher mon livre! Je l’ai dévoré, suivant avec
plaisir les aventures de Sydney, notre héroïne. Bien que sympathique, cette
dernière ne m’a cependant pas tout à fait charmée. J’ai trouvé qu’elle manquait
parfois de caractère, qu’elle était un peu trop naïve et, surtout, totalement
inoffensive. Peut-être cela s’arrangera-t-il dans le tome 2?
Le personnage masculin rattrape toutefois tous les défauts
que j’aurais pu trouver à Sydney : Winter est tout simplement… Aaaaah, je
l’ai adoré. Le genre de héros torturé qu’on adore toutes. Oh bien sûr, il a un
petit côté terrifiant, voire flippant. M’enfin – c’est un Psycho Boy! Et il a
immédiatement conquis mon cœur!
En gros, le tome 1 d’une série digne de son auteur, qui
réserve son lot de surprises et de péripéties palpitantes!
Ma note : 4/5
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