samedi 16 mai 2015

Psycho Boys, par Michel J. Lévesque



Psycho Boys, tome 1

Quatrième de couverture :
« En retirant son bracelet de repérage, Abigail était consciente d’avoir mis en alerte le bureau des marshals et celui du FBI. Ils la recherchaient certainement. Chose étrange, elle n’avait encore croisé aucune voiture de police. Et si le signal n’avait pas été déclenché? Qui qu’il en soit, elle était maintenant une fugitive et avait bien l’intention de quitter la ville. »

Ils portent plusieurs noms : vilains, prédateurs, Psycho Boys. Tous sont nés il y a dix-huit ans, peu après l’apparition du Patecal, un nouveau médicament conçu pour réduire le nombre de fausses couches. À l’époque, les gens s’accordaient pour dire que ces bébés ne possédaient pas d’âme. Nous savons aujourd’hui qu’ils n’auraient pas dû naître. »


Mon avis :
Je vais mettre quelque chose au clair dès maintenant : j’avais de grosses attentes pour ce livre. Pour ne pas dire d’énormes. Voyez-vous, je suis une fan de Michel J. Je l’ai découvert grâce à sa merveilleuse série Arielle Queen (dont mes critiques ne sont pas encore sur le blog. Désolée).  Je ne me suis donc pas fait prier bien longtemps pour me jeter sur ce tome 1 de Psycho Boys, qui promettait bien des surprises.

Au début de ma lecture, j’avoue avoir eu un peu de mal à me plonger dans l’histoire. L’univers alternatif me plaisait beaucoup, mais j’ai été quelque peu déroutée par le rythme des chapitres. Au fil de ces derniers, on alterne entre différentes « paires » de personnages. Ils nous sont ainsi introduits et nous voyons l’histoire et l’intrigue se construire autour d’eux. Toutefois, j’ai trouvé que cela ne nous laissait pas le temps de s’attacher à l’un ou l’autre. Et donc, malgré les rebondissements auxquels nous avons droit au cours de ces premiers chapitres, ma lecture a débuté un peu lentement.

Cela s’arrange toutefois rapidement, et après un début difficile, je n’ai plus pu lâcher mon livre! Je l’ai dévoré, suivant avec plaisir les aventures de Sydney, notre héroïne. Bien que sympathique, cette dernière ne m’a cependant pas tout à fait charmée. J’ai trouvé qu’elle manquait parfois de caractère, qu’elle était un peu trop naïve et, surtout, totalement inoffensive. Peut-être cela s’arrangera-t-il dans le tome 2?

Le personnage masculin rattrape toutefois tous les défauts que j’aurais pu trouver à Sydney : Winter est tout simplement… Aaaaah, je l’ai adoré. Le genre de héros torturé qu’on adore toutes. Oh bien sûr, il a un petit côté terrifiant, voire flippant. M’enfin – c’est un Psycho Boy! Et il a immédiatement conquis mon cœur!

En gros, le tome 1 d’une série digne de son auteur, qui réserve son lot de surprises et de péripéties palpitantes!


Ma note : 4/5

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